Quelles sont les solutions pour développer des systèmes de traçabilité des produits, utilisant la blockchain, les puces RFID, les QR codes, les capteurs IoT et les autres technologies d'identification, de localisation et de suivi, pour permettre aux entreprises de suivre en temps réel le parcours de leurs produits, de garantir leur origine, leur qualité, leur conformité et leur sécurité, de lutter contre la contrefaçon et les marchés parallèles, et d'informer les consommateurs sur les caractéristiques et le cycle de vie des produits ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes collaboratives et des systèmes d'information logistique partagés, permettant aux différents acteurs de la chaîne logistique (producteurs, fournisseurs, transporteurs, distributeurs, clients, etc.) d'échanger des données en temps réel, de coordonner leurs actions, de suivre l'avancement des opérations, de gérer les aléas et les imprévus, et de prendre des décisions conjointes, afin d'améliorer la visibilité, la réactivité et la flexibilité de la chaîne logistique ?
Est-il possible de créer des outils numériques permettant aux citoyens de mieux comprendre comment leurs données personnelles sont collectées, utilisées et partagées, de gérer leurs paramètres de confidentialité, d'exercer leurs droits en matière de protection des données (accès, rectification, suppression, opposition, portabilité, etc.) et de se protéger contre les risques de surveillance, de profilage, de discrimination et de manipulation liés à l'utilisation de leurs données personnelles ?
Quelles sont les solutions pour encadrer le développement et l'utilisation de l'IA par des principes éthiques clairs et contraignants, comme la transparence, l'explicabilité, la non-discrimination, la responsabilité, la protection de la vie privée, la sécurité et la robustesse, afin de prévenir les risques et les dérives potentielles de ces technologies (biais algorithmiques, atteintes à la vie privée, manipulation de l'information, automatisation excessive, etc.) et de garantir que l'IA soit au service du bien commun et du progrès humain ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils de gestion des consentements (consent management platforms, CMP) permettant aux citoyens de donner ou de retirer leur consentement de manière éclairée, spécifique, libre et univoque pour chaque type de traitement de données, de gérer leurs préférences en matière de confidentialité (cookies, publicité ciblée, géolocalisation, etc.), et d'exercer leurs droits en matière de protection des données (accès, rectification, suppression, opposition, etc.) de manière simple et efficace ?
Est-il possible de créer des espaces numériques dédiés à la créativité, à l'innovation et à l'expérimentation, tels que des fablabs, des makerspaces, des medialabs, des living labs ou des tiers-lieux numériques, permettant aux citoyens de se rencontrer, d'échanger, de collaborer, de prototyper, de tester et de développer des projets innovants, en utilisant les technologies numériques comme des outils de création, d'apprentissage et de transformation sociale ?
Comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour soutenir le développement de la médecine personnalisée, en permettant de prendre en compte les caractéristiques individuelles de chaque patient (génétiques, biologiques, cliniques, environnementales, comportementales, etc.) pour adapter les stratégies de prévention, de diagnostic, de traitement et de suivi, et pour proposer des interventions plus ciblées, plus efficaces et plus sûres ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes en ligne, des applications mobiles, des musées virtuels, des bibliothèques numériques, des jeux vidéo culturels et d'autres outils numériques permettant d'accéder à des œuvres d'art, à des spectacles, à des livres, à des films, à des musiques, à des contenus éducatifs et à d'autres ressources culturelles de qualité, diversifiées et accessibles à tous, indépendamment du lieu de résidence, du niveau de revenu, du handicap ou de la langue ?
De quelle manière la technologie peut-elle être utilisée pour promouvoir une approche ouverte, collaborative et inclusive de l'innovation, en permettant aux différents acteurs de l'innovation (chercheurs, entrepreneurs, investisseurs, pouvoirs publics, société civile, etc.) de travailler ensemble, de partager leurs connaissances, leurs ressources et leurs compétences, et de co-créer des solutions innovantes aux défis de notre temps ?
Est-il possible de créer des espaces numériques inclusifs et accessibles, comme des tiers-lieux numériques, des fablabs, des espaces publics numériques, des médiathèques numériques ou des centres de ressources numériques, permettant à tous les citoyens de se former, de s'informer, de créer, de partager, de collaborer et de participer à la vie numérique de la société, en bénéficiant d'un accompagnement personnalisé, de ressources pédagogiques adaptées et d'un environnement stimulant et convivial, et en favorisant la mixité sociale, la diversité culturelle et l'échange intergénérationnel ?
Quelles sont les solutions pour développer des jeux sérieux, des simulations, des applications mobiles et des plateformes en ligne permettant aux consommateurs d'apprendre en s'amusant, de se challenger, de gagner des points, des récompenses ou des réductions, de partager leurs succès et leurs réalisations en matière de consommation responsable, et de s'engager dans une démarche de progrès continu et de consommation responsable, en utilisant des mécanismes de gamification, de storytelling, de design thinking et d'autres approches créatives et engageantes ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques permettant de signaler les discriminations, de dénoncer les propos et les comportements discriminatoires, de sensibiliser le public aux enjeux de la diversité et de l'inclusion, et de promouvoir des pratiques respectueuses et non discriminatoires dans tous les domaines de la vie (emploi, logement, éducation, santé, services publics, médias, culture, sport, etc.) ?
Est-il possible de créer des espaces d'apprentissage et d'expérimentation numérique ouverts et inclusifs, comme des médialabs, des learning centers, des tiers-lieux numériques, des fablabs, des espaces publics numériques ou des bibliothèques numériques, permettant aux citoyens de se former aux outils et aux usages du numérique, de s'informer sur les enjeux du numérique, de développer leurs compétences numériques (création de contenus, programmation, utilisation de logiciels, etc.), de participer à des projets collaboratifs, de partager leurs connaissances et leurs expériences, et de s'approprier les technologies numériques de manière créative et citoyenne ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques de création et d'expression artistique, permettant aux citoyens de réaliser des œuvres originales, de partager leurs créations, de collaborer avec d'autres artistes et de participer à des projets artistiques et culturels en ligne, en utilisant des logiciels de création graphique, de montage vidéo, de composition musicale, d'écriture, de dessin, de modélisation 3D, de réalité virtuelle, de réalité augmentée et d'autres outils de création numérique ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques d'éducation aux médias et à l'information, permettant aux citoyens de distinguer les sources d'information fiables des fausses nouvelles, de comprendre les mécanismes de la désinformation, de la manipulation et de la propagande en ligne, de décrypter les images, les vidéos et les autres contenus numériques, et de développer leur capacité à analyser, à vérifier et à évaluer l'information de manière autonome et éclairée, afin de se protéger contre les risques de désinformation, de radicalisation et de manipulation en ligne, et de participer de manière éclairée et responsable aux débats de société ?
De quelle manière les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour soutenir la transition écologique dans tous les secteurs d'activité (énergie, transports, bâtiment, agriculture, industrie, etc.), en favorisant l'efficacité énergétique, l'économie circulaire, la sobriété numérique, la mobilité durable, l'alimentation durable et la protection de la biodiversité ?
Comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour collecter, analyser et exploiter les données clients (données transactionnelles, données comportementales, données déclaratives, données issues des réseaux sociaux, etc.), afin de mieux connaître les clients, de comprendre leurs besoins, leurs attentes, leurs motivations et leurs parcours, de segmenter la clientèle, de personnaliser la communication et les offres, d'anticiper les demandes et de proposer des services proactifs et adaptés à chaque profil de client, tout en respectant la confidentialité et la sécurité des données personnelles ?
Comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour favoriser l'inclusion sociale, économique et culturelle des personnes marginalisées ou exclues, en leur permettant d'accéder à l'information, à l'éducation, à la formation, à l'emploi, aux services sociaux, à la culture, à la participation citoyenne et à tous les aspects de la vie sociale, et en leur donnant les moyens de s'exprimer, de faire entendre leur voix et de faire valoir leurs droits ?
Est-il possible de créer des systèmes de surveillance environnementale à l'échelle mondiale, utilisant des technologies numériques comme les satellites, les drones, les capteurs, l'intelligence artificielle et le big data, pour suivre l'évolution des écosystèmes, les émissions de gaz à effet de serre, la déforestation, la pollution, les risques naturels et les autres indicateurs du développement durable, afin d'alerter en cas de dégradation de l'environnement, d'évaluer l'impact des politiques publiques et de guider les actions de protection de la planète ?
De quelle manière les outils de consultation en ligne, comme les sondages, les questionnaires, les forums de discussion, les budgets participatifs, les consultations citoyennes, etc., peuvent-ils être utilisés pour recueillir l'avis des citoyens sur les projets et les politiques en matière de développement durable, pour prendre en compte leurs besoins, leurs attentes et leurs priorités, et pour favoriser leur implication dans la prise de décision et la mise en œuvre des actions ?
Quelles sont les solutions pour développer des systèmes de défense multicouches, combinant des mesures de prévention (pare-feu, antivirus, authentification forte, etc.), de détection (systèmes de détection d'intrusion, analyse comportementale, etc.) et de réaction (plans de réponse aux incidents, outils de remédiation, etc.), afin de protéger les infrastructures critiques contre les cyberattaques ?
Est-il possible de créer des espaces d'innovation ouverts et collaboratifs, tels que des fablabs, des living labs, des hackathons ou des challenges d'innovation, permettant aux entreprises de collaborer avec des partenaires externes (clients, fournisseurs, startups, universités, centres de recherche, etc.) pour développer de nouvelles solutions, explorer de nouvelles technologies, accéder à de nouvelles compétences et accélérer leur transformation numérique, en favorisant l'open innovation, le co-développement et l'échange de bonnes pratiques ?
Quelles sont les solutions pour développer des chatbots, des assistants virtuels, des interfaces conversationnelles et des systèmes de recommandation personnalisés, utilisant l'intelligence artificielle, le traitement automatique du langage naturel (TALN) et le machine learning, pour interagir avec les clients de manière naturelle et intuitive, répondre à leurs questions, les orienter vers les services appropriés, les accompagner dans leurs démarches, leur proposer des offres et des contenus adaptés à leur profil et à leurs préférences, et leur offrir une assistance personnalisée 24h/24 et 7j/7, sur différents canaux (web, mobile, réseaux sociaux, messagerie, etc.) ?
Est-il possible de créer des parcours client omnicanal fluides et cohérents, permettant aux clients d'interagir avec la marque sur différents canaux (site web, application mobile, réseaux sociaux, magasin physique, service client, etc.), de passer d'un canal à l'autre sans rupture, de retrouver leurs informations et leurs préférences sur tous les canaux, et de bénéficier d'une expérience client personnalisée et homogène, quel que soit le point de contact avec la marque ?
Comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour créer des expériences client immersives et interactives, utilisant la réalité virtuelle, la réalité augmentée, les vidéos à 360°, les visites virtuelles, les configurateurs de produits, les essayages virtuels et les autres technologies immersives, pour permettre aux clients de découvrir les produits ou services de manière originale et ludique, de les tester virtuellement, de se projeter dans leur utilisation, de personnaliser leur expérience et de vivre des émotions fortes et mémorables, qui renforcent leur attachement à la marque et leur intention d'achat ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes en ligne permettant aux consommateurs de louer, d'échanger, de donner ou de revendre des biens d'occasion (vêtements, meubles, électroménager, livres, jouets, etc.), de trouver des réparateurs, des ressourceries, des recycleries et des points de collecte près de chez eux, et de s'informer sur les filières de recyclage et les bonnes pratiques en matière de tri des déchets ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils d'évaluation de l'impact global des produits et services, prenant en compte l'ensemble de leur cycle de vie, depuis l'extraction des matières premières jusqu'à leur fin de vie, en passant par la production, la distribution, l'utilisation et le recyclage, et intégrant des critères environnementaux (consommation d'énergie, émissions de gaz à effet de serre, consommation d'eau, production de déchets, impact sur la biodiversité, etc.), sociaux (conditions de travail, respect des droits humains, contribution au développement local, etc.) et économiques (création d'emplois, répartition des richesses, etc.), afin de permettre aux consommateurs de faire des choix éclairés et responsables, et d'encourager les entreprises à adopter des modes de production et de distribution plus durables ?
Quand le sport sera-t-il pleinement accessible à tous, indépendamment de l'âge, du sexe, du handicap, de l'origine sociale, du lieu de résidence ou du niveau de revenu, et les valeurs du sport (respect, fair-play, dépassement de soi, solidarité, etc.) seront-elles partagées et vécues par tous ?
Est-il possible de créer des espaces d'innovation ouverts et collaboratifs, permettant aux entreprises de collaborer avec des partenaires externes (clients, fournisseurs, startups, universités, centres de recherche, etc.) pour développer de nouvelles solutions, explorer de nouvelles technologies, accéder à de nouvelles compétences et accélérer leur transformation numérique, en favorisant l'open innovation, le co-développement et l'échange de bonnes pratiques ?
Est-il possible de créer des espaces de débat et de réflexion en ligne permettant aux citoyens de discuter des enjeux du numérique, de partager leurs expériences, leurs idées et leurs solutions, de confronter leurs points de vue, de construire des arguments, de développer leur esprit critique et leur capacité de discernement, et de participer à la construction d'une vision commune de l'avenir du numérique, en tenant compte des dimensions techniques, économiques, sociales, culturelles, éthiques et politiques ?
Comment la technologie peut-elle être utilisée pour combattre les préjugés, les stéréotypes et les discriminations fondées sur l'origine, le genre, l'orientation sexuelle, l'identité de genre, le handicap, la religion, l'âge, l'apparence physique ou toute autre caractéristique personnelle, et pour promouvoir l'égalité des chances, la diversité et le vivre-ensemble ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques de création et d'expression artistique, permettant aux utilisateurs de réaliser des œuvres originales, de partager leurs créations, de collaborer avec d'autres créateurs et de participer à des projets artistiques et culturels en ligne, en utilisant des logiciels de création graphique, de montage vidéo, de composition musicale, d'écriture, de dessin, de modélisation 3D, etc. ?
De quelle manière les politiques de sécurité informatique, les normes de sécurité (ISO 27001, etc.), les bonnes pratiques en matière de cybersécurité (mots de passe robustes, mises à jour régulières, sauvegardes, etc.) et les outils de sécurité (pare-feu, antivirus, VPN, etc.) peuvent-ils être diffusés et mis en œuvre de manière efficace auprès des entreprises, des administrations, des organisations et des particuliers, afin de renforcer la résilience globale face aux cybermenaces ?
De quelle manière les programmes d'éducation au numérique peuvent-ils être adaptés aux besoins et aux niveaux de compétences de chaque public (enfants, adolescents, adultes, seniors, personnes en situation de handicap, personnes éloignées du numérique, etc.), en proposant des contenus et des méthodes pédagogiques variés, accessibles et attractifs (jeux sérieux, tutoriels, vidéos, MOOC, ateliers pratiques, etc.), et en tenant compte des spécificités culturelles, linguistiques et sociales de chaque groupe ?
Quelles sont les solutions pour encourager le développement d'intelligences artificielles au service du bien commun, capables de résoudre des problèmes complexes, d'améliorer la qualité de vie des citoyens, de contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable (santé, éducation, environnement, justice, etc.) et de répondre aux besoins spécifiques des différentes populations (personnes âgées, personnes handicapées, personnes vulnérables, etc.) ?
De quelle manière les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour favoriser l'émergence de nouvelles formes de collaboration, de coopération et d'intelligence collective, en permettant aux citoyens, aux chercheurs, aux entrepreneurs, aux associations, aux pouvoirs publics et aux autres acteurs de la société de travailler ensemble, de mutualiser leurs ressources, de partager leurs idées et de construire ensemble des solutions innovantes aux défis de notre temps, en utilisant des méthodes de design thinking, de créativité, d'innovation ouverte et de co-création ?
Comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour anticiper les besoins et les demandes des clients, en utilisant des outils d'analyse prédictive, des algorithmes de machine learning, des modèles de prévision de la demande et des données issues de différentes sources (historique des ventes, données de marché, données des réseaux sociaux, données météorologiques, etc.), afin d'ajuster les niveaux de production, les stocks, les approvisionnements et les ressources en fonction des prévisions de demande, et d'éviter les pénuries, les surstocks et les gaspillages ?
Est-il possible de créer des systèmes d'alerte et de gestion des risques logistiques, utilisant des capteurs, des objets connectés, des outils d'analyse en temps réel et des tableaux de bord de suivi de la performance, pour détecter les anomalies, les retards, les ruptures de stock, les problèmes de qualité, les incidents de transport et les autres événements imprévus survenant sur la chaîne logistique, et pour permettre aux acteurs concernés de réagir rapidement, de prendre des mesures correctives, de minimiser les impacts négatifs sur l'activité et sur les clients, et d'améliorer la résilience de la chaîne logistique face aux aléas ?
Quelles sont les solutions pour encourager les entreprises du numérique à adopter des pratiques plus durables, en réduisant leur empreinte environnementale (consommation d'énergie, émissions de gaz à effet de serre, production de déchets électroniques, etc.), en respectant les droits des travailleurs (conditions de travail, salaires décents, liberté syndicale, etc.), en protégeant les données personnelles des utilisateurs (confidentialité, sécurité, transparence, etc.) et en luttant contre l'évasion fiscale et les pratiques anticoncurrentielles ?
De quelle manière les plateformes en ligne et les réseaux sociaux peuvent-ils être régulés de manière à lutter contre la désinformation, la haine en ligne, les contenus illicites (incitation à la haine, apologie du terrorisme, pédopornographie, etc.) et les manipulations de l'information (deepfakes, bots, etc.), tout en préservant la liberté d'expression, le pluralisme des opinions et le droit à l'information, en trouvant un juste équilibre entre la responsabilité des plateformes et la protection des droits fondamentaux ?
Est-il possible de créer des espaces d'apprentissage et d'expérimentation numérique ouverts et accessibles à tous, comme des médialabs, des learning centers, des tiers-lieux numériques ou des espaces publics numériques, permettant aux citoyens de se former, de s'informer, de créer, de partager, de collaborer et de participer à des projets numériques, en bénéficiant d'un accompagnement personnalisé, de ressources pédagogiques adaptées et d'un environnement stimulant et convivial ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes en ligne, des applications mobiles, des musées virtuels, des bibliothèques numériques et d'autres outils numériques permettant d'accéder à des œuvres d'art, à des spectacles, à des livres, à des films, à des musiques, à des jeux vidéo et à d'autres contenus culturels de qualité, diversifiés et accessibles à tous, indépendamment du lieu de résidence, du niveau de revenu ou du handicap ?
Quelles sont les solutions pour encourager les entreprises du numérique à adopter des pratiques plus durables et plus responsables, en réduisant leur empreinte environnementale (consommation d'énergie, émissions de gaz à effet de serre, production de déchets électroniques, utilisation de ressources rares, etc.), en respectant les droits des travailleurs (conditions de travail décentes, salaires équitables, liberté syndicale, lutte contre le travail des enfants et le travail forcé, etc.), en protégeant les données personnelles des utilisateurs (confidentialité, sécurité, transparence, contrôle, etc.), en luttant contre l'évasion fiscale, les pratiques anticoncurrentielles et les abus de position dominante, et en contribuant positivement au développement économique et social des territoires où elles opèrent ?
De quelle manière les politiques publiques et les initiatives privées peuvent-elles favoriser la formation aux compétences numériques de base (utilisation d'un ordinateur, d'un smartphone, d'internet, des réseaux sociaux, des outils de communication, etc.) pour tous les citoyens, en particulier les personnes âgées, les personnes handicapées, les personnes à faible revenu, les personnes peu qualifiées, les migrants et les autres groupes qui risquent d'être exclus de la société numérique ?
Est-il possible de créer des plateformes de feedback client, des enquêtes de satisfaction en ligne, des forums de discussion, des espaces communautaires et des outils d'analyse des sentiments, permettant de recueillir les avis, les suggestions, les réclamations et les témoignages des clients, d'analyser leurs retours, d'identifier les points forts et les points faibles des produits et services, de mesurer la satisfaction et la fidélité des clients, et d'améliorer en continu la qualité de l'expérience client, en impliquant les clients dans le processus d'amélioration et en leur montrant que leur avis compte ?
De quelle manière les jeux sérieux, les simulations, les environnements virtuels et les autres outils numériques peuvent-ils être utilisés pour développer les compétences numériques des citoyens (maîtrise des outils, recherche d'information, communication en ligne, création de contenus, etc.), leur permettre de comprendre le fonctionnement des algorithmes, des intelligences artificielles et des plateformes numériques, et les sensibiliser aux enjeux de la citoyenneté numérique (participation, expression, respect des autres, protection de la vie privée, etc.) ?
De quelle manière les plateformes en ligne peuvent-elles être utilisées pour organiser des consultations publiques sur les enjeux du numérique (intelligence artificielle, protection des données, cybersécurité, régulation des plateformes, etc.), recueillir les avis et les propositions des citoyens, et favoriser la co-construction des politiques numériques, en associant les différentes parties prenantes (gouvernements, entreprises, chercheurs, société civile, etc.) ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques d'éducation aux droits humains, tels que des jeux sérieux, des simulations, des applications mobiles, des plateformes en ligne, des MOOC, des vidéos, des podcasts et d'autres ressources pédagogiques interactives et ludiques, permettant d'apprendre, de comprendre, d'expérimenter et d'agir en faveur des droits humains ?
Est-il possible de créer des espaces numériques inclusifs et accessibles, tels que des tiers-lieux numériques, des fablabs, des espaces publics numériques, des médiathèques numériques ou des centres de ressources numériques, permettant à tous les citoyens de se former aux outils et aux usages du numérique, de s'informer sur les enjeux du numérique, de développer leurs compétences numériques, de participer à des projets collaboratifs, de partager leurs connaissances et leurs expériences, et de s'approprier les technologies numériques de manière créative, critique et citoyenne, en bénéficiant d'un accompagnement personnalisé et de ressources pédagogiques adaptées ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes en ligne de consultation citoyenne, permettant aux citoyens de donner leur avis sur les projets de loi, les politiques publiques, les décisions locales, les budgets participatifs, etc., de proposer des amendements, des idées ou des alternatives, et de participer à l'élaboration des normes et des réglementations qui les concernent, en garantissant la transparence, l'accessibilité et la prise en compte des contributions citoyennes ?
Est-il possible de créer des technologies de protection de la vie privée dès la conception (privacy by design) et par défaut (privacy by default), intégrant les exigences de protection des données dès le développement des produits et services numériques (applications, plateformes, objets connectés, etc.), en utilisant des méthodes d'analyse d'impact sur la vie privée (PIA), en mettant en place des mesures de sécurité appropriées (authentification forte, contrôle d'accès, etc.), et en garantissant un niveau élevé de protection des données par défaut, sans que l'utilisateur ait à intervenir ?
De quelle manière les exercices de simulation de cyberattaques (cyber ranges, wargames, etc.), les entraînements à la gestion de crise cybernétique et les programmes de formation et de sensibilisation à la cybersécurité peuvent-ils être utilisés pour renforcer la résilience des infrastructures critiques (énergie, transports, communications, santé, finance, etc.), préparer les acteurs concernés (décideurs, opérateurs, équipes techniques, etc.) à faire face à des incidents majeurs et améliorer la coordination des réponses aux cyberattaques ?
De quelle manière les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour renforcer la transparence et l'accès à l'information environnementale, en permettant aux citoyens d'accéder aux données sur l'état de l'environnement, la qualité de l'air, de l'eau, des sols, la biodiversité, les risques naturels et technologiques, les émissions de polluants, les consommations d'énergie et de ressources, les déchets, etc., et de suivre l'évolution des indicateurs environnementaux ?
Est-il possible de créer des entrepôts intelligents et automatisés, utilisant des robots, des drones, des véhicules autonomes, des systèmes de convoyage automatisés, des bras manipulateurs, des solutions de picking et de packing automatisés, et des technologies de réalité augmentée, pour optimiser les opérations de stockage, de préparation de commandes, d'expédition et de réception des marchandises, afin de gagner en efficacité, en productivité, en précision et en sécurité, et de réduire les erreurs et les délais de traitement ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils cartographiques et des systèmes d'information géographique (SIG) permettant d'identifier les zones les plus exposées aux risques environnementaux (pollution de l'air, de l'eau, des sols, inondations, sécheresses, tempêtes, etc.) et les populations les plus vulnérables (personnes à faible revenu, minorités ethniques, populations autochtones, femmes, enfants, personnes âgées, personnes handicapées, etc.), afin de mieux cibler les actions de prévention, de protection et d'adaptation, et de réduire les inégalités environnementales ?
Est-il possible de créer des observatoires citoyens du développement durable, utilisant des technologies numériques (capteurs, applications mobiles, plateformes en ligne, etc.) pour collecter des données sur l'environnement (qualité de l'air, de l'eau, des sols, biodiversité, etc.), la consommation d'énergie, les émissions de gaz à effet de serre, la production et la gestion des déchets, la mobilité, la qualité de vie, etc., afin d'alimenter la recherche scientifique, d'évaluer l'impact des politiques publiques, de sensibiliser les citoyens et de favoriser la participation citoyenne à la transition écologique ?
De quelle manière les outils de communication collaborative, comme la visioconférence, les espaces de travail partagés, les réseaux sociaux et les plateformes de traduction automatique, peuvent-ils être utilisés pour faciliter la négociation et la mise en œuvre des accords internationaux sur le climat (Accord de Paris, etc.), la biodiversité (Convention sur la diversité biologique, etc.), la lutte contre la désertification, la protection des océans et les autres enjeux du développement durable, en permettant aux acteurs de dialoguer, de coopérer et de coordonner leurs actions à distance ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes en ligne, des réseaux sociaux, des espaces de coworking, des fablabs, des living labs et d'autres outils numériques permettant de faciliter la collaboration, l'échange d'idées, le partage de bonnes pratiques, le prototypage rapide, l'expérimentation et la diffusion des innovations, et de créer des écosystèmes d'innovation ouverts, dynamiques et créatifs ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes en ligne de consultation citoyenne, de pétition citoyenne, de budget participatif, de votation citoyenne, de débat public et d'autres outils de démocratie participative et délibérative, permettant aux citoyens de s'informer, de s'exprimer, de proposer, de débattre, de voter et de contrôler l'action des pouvoirs publics, et de participer activement à la vie démocratique de leur pays, de leur région ou de leur commune ?
Est-il possible de créer des outils numériques permettant aux citoyens de suivre l'activité de leurs élus (présence, votes, interventions, etc.), de contrôler l'utilisation des fonds publics (transparence budgétaire, open data, etc.), de signaler les dysfonctionnements, les abus de pouvoir, la corruption ou les conflits d'intérêts, et de demander des comptes aux responsables politiques, afin de renforcer la transparence, la responsabilité et l'intégrité des institutions démocratiques ?
De quelle manière les outils de démocratie participative, comme les pétitions en ligne, les forums de discussion citoyens, les consultations en ligne, les votations citoyennes, les jurys citoyens, les assemblées citoyennes tirées au sort, etc., peuvent-ils être utilisés pour associer les citoyens à la prise de décision publique, renforcer leur pouvoir d'agir, favoriser le dialogue entre les citoyens et les élus, et renouveler les formes de la démocratie représentative ?
Quelles sont les solutions pour développer des systèmes agricoles intelligents et connectés, utilisant des capteurs, des drones, des robots, des données satellitaires, l'intelligence artificielle et d'autres technologies numériques, pour optimiser l'utilisation des intrants (eau, engrais, pesticides, etc.), réduire les pertes et les gaspillages, améliorer la productivité et la qualité des cultures, et préserver la santé des sols et des écosystèmes ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques d'éducation à l'environnement et au développement durable, tels que des jeux sérieux, des simulations, des applications mobiles, des plateformes en ligne, des MOOC, des vidéos, des podcasts, des infographies, des quiz et d'autres ressources pédagogiques interactives et ludiques, permettant d'apprendre, de comprendre, d'expérimenter et d'agir en faveur du développement durable ?
Est-il possible de créer des plateformes en ligne et des outils numériques permettant aux chercheurs, aux entrepreneurs, aux investisseurs, aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens de collaborer, de partager leurs connaissances, leurs ressources et leurs compétences, et de co-créer des solutions innovantes aux défis de notre temps, en utilisant des méthodes de design thinking, de créativité, d'innovation ouverte et de co-création ?
De quelle manière les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour favoriser la participation des citoyens à la vie de leur territoire, en leur permettant de s'informer sur les projets locaux, de donner leur avis, de proposer des idées, de participer à des consultations publiques, de voter pour des projets locaux et de contrôler l'action des pouvoirs publics locaux, et en créant des espaces numériques de dialogue, de débat et de collaboration entre les citoyens, les élus, les associations, les entreprises et les autres acteurs locaux ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils d'évaluation de l'impact global des produits et services, prenant en compte l'ensemble de leur cycle de vie, depuis l'extraction des matières premières jusqu'à leur fin de vie, en passant par la production, la distribution, l'utilisation et le recyclage, et intégrant des critères environnementaux (consommation d'énergie, émissions de gaz à effet de serre, consommation d'eau, production de déchets, impact sur la biodiversité, etc.), sociaux (conditions de travail, respect des droits humains, contribution au développement local, etc.) et économiques (création d'emplois, répartition
Est-il possible de créer des espaces numériques dédiés à la créativité, à l'innovation et à l'expérimentation, tels que des fablabs, des makerspaces, des medialabs, des living labs ou des tiers-lieux numériques, permettant aux citoyens de se rencontrer, d'échanger, de collaborer, de prototyper, de tester et de développer des projets innovants, en utilisant les technologies numériques comme des outils de création, d'apprentissage et de transformation sociale, et en bénéficiant d'un accompagnement personnalisé, de ressources matérielles et logicielles, et d'un environnement stimulant et convivial ?
De quelle manière les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour favoriser l'inclusion sociale, économique et culturelle des personnes marginalisées ou exclues, en leur permettant d'accéder à l'information, à l'éducation, à la formation, à l'emploi, aux services sociaux, à la culture, à la participation citoyenne et à tous les aspects de la vie sociale, et en leur donnant les moyens de s'exprimer, de faire entendre leur voix et de faire valoir leurs droits, et en luttant contre les préjugés, les stéréotypes et les discriminations dont elles sont victimes ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils d'éducation aux médias et à l'information, permettant aux citoyens de distinguer les sources d'information fiables des fausses nouvelles, de comprendre les mécanismes de la désinformation, de la manipulation et de la propagande en ligne, de décrypter les images, les vidéos et les autres contenus numériques, et de développer leur capacité à analyser, à vérifier et à évaluer l'information de manière autonome et éclairée, afin de se protéger contre les risques de désinformation, de radicalisation et de manipulation en ligne, et de participer de manière éclairée et responsable aux débats de société ?
Comment la technologie peut-elle être utilisée pour promouvoir une gestion intégrée et durable des ressources en eau, en tenant compte des différents usages de l'eau (alimentation en eau potable, agriculture, industrie, énergie, loisirs, etc.), des différents acteurs concernés (collectivités, entreprises, agriculteurs, citoyens, etc.) et des différents enjeux environnementaux, économiques et sociaux liés à l'eau ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques d'éducation à l'eau, tels que des jeux sérieux, des simulations, des applications mobiles, des plateformes en ligne, des MOOC, des vidéos, des podcasts, des infographies et d'autres ressources pédagogiques interactives et ludiques, permettant d'apprendre, de comprendre, d'expérimenter et d'agir en faveur de l'eau ?
Est-il possible de créer des espaces d'apprentissage et d'expérimentation numérique sur l'eau, tels que des médialabs, des learning centers, des tiers-lieux numériques ou des espaces publics numériques, permettant aux citoyens de se former aux outils et aux usages du numérique liés à l'eau, de s'informer sur les enjeux de l'eau, de développer leurs compétences numériques, de participer à des projets collaboratifs, de partager leurs connaissances et leurs expériences, et de s'approprier les technologies numériques de manière créative, critique et citoyenne, en lien avec la thématique de l'eau ?
Comment la technologie peut-elle être utilisée pour promouvoir une approche intégrée et systémique de la gestion de l'eau, en tenant compte des liens complexes entre l'eau, l'énergie, l'alimentation, la santé, l'environnement, le climat, la biodiversité, les villes, les territoires et les autres secteurs du développement durable, et en favorisant les synergies et les solutions gagnant-gagnant ?
De quelle manière les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour favoriser la coopération et la coordination entre les différents acteurs de l'eau (collectivités, entreprises, agriculteurs, associations, citoyens, chercheurs, etc.), en permettant le partage d'informations, la concertation, la co-construction de solutions et l'action collective, et en créant des espaces de dialogue et de collaboration multi-acteurs ?
Comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour encourager les citoyens à adopter des comportements numériques responsables, éthiques et citoyens, en respectant les droits et les libertés des autres, en protégeant leur vie privée et leurs données personnelles, en luttant contre la haine en ligne, le cyberharcèlement et les discriminations, et en contribuant à la construction d'un espace numérique sûr, ouvert, respectueux des valeurs démocratiques et propice au débat public et à la participation citoyenne, et en favorisant une utilisation du numérique qui soit au service du bien commun, de l'intérêt général et du développement durable ?
Est-il possible de créer des espaces de débat et de réflexion en ligne permettant aux citoyens de discuter des enjeux de l'innovation, de partager leurs expériences, leurs idées et leurs solutions, de confronter leurs points de vue, de construire des arguments, de développer leur esprit critique et leur capacité de discernement, et de participer à la construction d'une vision commune de l'avenir de l'innovation, en tenant compte des dimensions techniques, économiques, sociales, culturelles, éthiques et politiques, et en favorisant une approche pluridisciplinaire, participative et citoyenne de l'innovation ?
Est-il possible de créer des espaces numériques inclusifs et accessibles, tels que des tiers-lieux numériques, des fablabs, des espaces publics numériques, des médiathèques numériques ou des centres de ressources numériques, permettant à tous les citoyens de se former aux outils et aux usages du numérique, de s'informer sur les enjeux du numérique, de développer leurs compétences numériques, de participer à des projets collaboratifs, de partager leurs connaissances et leurs expériences, et de s'approprier les technologies numériques de manière créative, critique et citoyenne, en bénéficiant d'un accompagnement personnalisé et de ressources pédagogiques adaptées, et en favorisant la mixité sociale, la diversité culturelle et l'échange intergénérationnel ?
De quelle manière les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour encourager les citoyens à adopter des comportements numériques responsables, éthiques et citoyens, en respectant les droits et les libertés des autres, en protégeant leur vie privée et leurs données personnelles, en luttant contre la haine en ligne, le cyberharcèlement et les discriminations, et en contribuant à la construction d'un espace numérique sûr, ouvert, respectueux des valeurs démocratiques et propice au débat public et à la participation citoyenne, et en favorisant une utilisation du numérique qui soit au service du bien commun, de l'intérêt général et du développement durable ?
Est-il possible de créer des espaces de débat et de réflexion en ligne permettant aux citoyens de discuter des enjeux du numérique, de partager leurs expériences, leurs idées et leurs solutions, de confronter leurs points de vue, de construire des arguments, de développer leur esprit critique et leur capacité de discernement, et de participer à la construction d'une vision commune de l'avenir du numérique, en tenant compte des dimensions techniques, économiques, sociales, culturelles, éthiques et politiques, et en favorisant une approche pluridisciplinaire, participative et citoyenne du numérique ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils numériques permettant de cartographier les acteurs, les ressources et les initiatives locales en matière de consommation responsable (producteurs locaux, artisans, commerces de proximité, AMAP, groupements d'achats, ressourceries, recycleries, associations, etc.), de faciliter la mise en relation entre les producteurs locaux et les consommateurs, et de promouvoir les produits et services locaux, durables et solidaires, afin de soutenir le développement économique local, la création d'emplois locaux, la préservation des savoir-faire locaux et la valorisation des patrimoines culturels et naturels locaux ?
Quelles sont les solutions pour développer des outils d'observation et d'exploration des océans, utilisant des satellites, des drones, des robots sous-marins, des capteurs, des bouées et d'autres technologies numériques, pour collecter des données sur les océans (température, salinité, courants, acidité, niveau de la mer, etc.), cartographier les fonds marins, étudier la biodiversité marine, suivre les migrations des espèces marines, et surveiller les activités humaines en mer (pêche, transport maritime, exploitation des ressources, etc.) ?
Quelles sont les solutions pour développer des applications mobiles, des plateformes en ligne et des outils d'information permettant aux consommateurs de scanner les produits, d'obtenir des informations détaillées et fiables sur leur composition, leur origine, leur mode de production, leur impact environnemental et social (émissions de CO2, consommation d'eau, conditions de travail, etc.), leur qualité nutritionnelle, leur prix et les alternatives plus durables, afin de les aider à comparer les produits et à faire des choix plus éclairés et responsables ?
Comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour encourager la consommation de produits locaux, de saison, biologiques, issus du commerce équitable, de l'agriculture raisonnée ou de la pêche durable, en mettant en relation directe les producteurs et les consommateurs, en facilitant la vente directe, les circuits courts, les AMAP (Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne), les groupements d'achats, les marchés de producteurs et les autres formes de distribution alternative, et en valorisant les produits et les savoir-faire locaux ?
Est-il possible de créer des systèmes de notation et de labellisation des produits et des services, basés sur des critères de durabilité, d'éthique, de responsabilité sociale et de qualité, utilisant des référentiels reconnus (Ecolabel européen, AB, Max Havelaar, etc.), des outils d'évaluation multicritères et des technologies de traçabilité (blockchain, etc.), afin d'aider les consommateurs à identifier les produits et les services les plus respectueux de l'environnement, de la santé et des droits humains, et d'encourager les entreprises à s'engager dans une démarche de progrès et de transparence ?
Est-il possible de créer des espaces de débat et de réflexion sur les enjeux du numérique, permettant aux citoyens, aux experts, aux décideurs et aux acteurs du numérique de dialoguer, de confronter leurs points de vue, de partager leurs expériences et de construire ensemble une vision commune de l'avenir du numérique, en tenant compte des dimensions techniques, économiques, sociales, culturelles, éthiques et politiques ?
Comment la technologie peut-elle être utilisée pour imprimer en trois dimensions des objets, des pièces, des prototypes, des bâtiments, des organes, des aliments, etc., à partir de différents matériaux (plastique, métal, céramique, biomatériaux, etc.), et pour créer des objets en quatre dimensions, capables de changer de forme, de propriétés ou de fonctions en réponse à des stimuli externes (température, lumière, humidité, etc.) ?
Est-il possible de créer des instances de régulation et de contrôle indépendantes, dotées de pouvoirs d'enquête, de sanction et de recommandation, capables de superviser les activités des acteurs du numérique, de faire respecter les réglementations en vigueur (RGPD, DSA, DMA, etc.), de protéger les droits et les libertés des citoyens, et de promouvoir une concurrence loyale et équilibrée sur le marché du numérique, en tenant compte des spécificités de chaque secteur et des enjeux de souveraineté numérique ?
Quelles sont les solutions pour intégrer l'éducation aux médias et à l'information (EMI), la sensibilisation aux enjeux de la protection des données personnelles et de la vie privée, la prévention des risques en ligne (cyberharcèlement, désinformation, radicalisation, addictions, etc.), la promotion des usages éthiques et responsables du numérique (respect des droits d'auteur, lutte contre la haine en ligne, sobriété numérique, etc.) et le développement des compétences numériques (maîtrise des outils, recherche d'information, communication en ligne, création de contenus, programmation, etc.) dans les programmes scolaires, les formations professionnelles, les actions d'éducation populaire et les autres dispositifs d'apprentissage tout au long de la vie ?
De quelle manière les jeux sérieux, les simulations, les environnements virtuels, les MOOC, les tutoriels, les webinaires, les podcasts et les autres outils numériques peuvent-ils être utilisés pour rendre l'éducation au numérique plus ludique, plus interactive, plus personnalisée et plus adaptée aux besoins et aux niveaux de compétences de chaque apprenant, en favorisant l'expérimentation, la collaboration, la créativité et l'autonomie ?
Est-il possible de créer des espaces d'apprentissage et d'expérimentation numérique ouverts, accessibles et inclusifs, comme des médialabs, des learning centers, des tiers-lieux numériques, des fablabs, des espaces publics numériques ou des bibliothèques numériques, permettant aux citoyens de tous âges, de tous horizons et de tous niveaux de se former aux outils et aux usages du numérique, de s'informer sur les enjeux du numérique, de développer leurs compétences numériques, de participer à des projets collaboratifs, de partager leurs connaissances et leurs expériences, et de s'approprier les technologies numériques de manière créative, critique et citoyenne, en bénéficiant d'un accompagn
De quelle manière les outils d'analyse sémantique, de traitement automatique du langage naturel (TALN) et d'intelligence artificielle peuvent-ils être utilisés pour analyser les débats en ligne, identifier les arguments, les points de vue, les émotions, les consensus et les dissensus, détecter les manipulations, les trolls et les faux profils, et faciliter la synthèse, la compréhension et la modération des échanges, afin d'améliorer la qualité et la richesse du débat public en ligne ?
Est-il possible de créer des plateformes en ligne permettant d'organiser des débats citoyens structurés, avec des règles claires (temps de parole limité, respect des contradicteurs, argumentation fondée sur des faits, etc.), des formats variés (débats contradictoires, tables rondes, interviews, etc.), des mécanismes de modération efficaces (modérateurs humains, outils de détection automatique, etc.) et des outils de visualisation et de synthèse des échanges (cartographie des arguments, résumés, etc.), afin de favoriser l'émergence d'une intelligence collective, la construction de solutions partagées et la prise de décision éclairée ?
Quelles sont les solutions pour développer des plateformes en ligne permettant aux citoyens de s'engager dans des associations, des mouvements citoyens, des collectifs de défense de l'environnement, des organisations de solidarité, des partis politiques, etc., de s'informer sur leurs activités, de participer à leurs actions (manifestations, pétitions, campagnes de sensibilisation, etc.), de faire des dons, de devenir bénévoles, et de contribuer à leurs projets, en facilitant la mise en relation, la communication et la coordination entre les membres et les sympathisants ?
De quelle manière les outils de communication collaborative, comme les réseaux sociaux, les messageries instantanées, les outils de visioconférence, les plateformes de travail collaboratif, etc., peuvent-ils être utilisés pour faciliter l'organisation et la coordination des actions citoyennes, le partage d'informations et de ressources, la mobilisation des soutiens, la diffusion des idées et des revendications, et la création de communautés d'action et d'entraide, en permettant aux citoyens de s'organiser de manière autonome, horizontale et décentralisée ?
Est-il possible de créer des outils numériques permettant aux citoyens de signaler les problèmes et les dysfonctionnements qu'ils rencontrent dans leur vie quotidienne (voirie dégradée, éclairage public défectueux, propreté insuffisante, nuisances sonores, etc.), de proposer des solutions et des améliorations, de suivre l'action des services publics et des collectivités territoriales pour y remédier, et de participer à l'évaluation des politiques publiques et des services rendus aux citoyens, afin de renforcer la réactivité, l'efficacité et la qualité des services publics, et de promouvoir une citoyenneté active et responsable ?